Actus France: nous avons sélectionné les cinq plus beaux rôles de sa carrière #France

Voilà qui va vous plaire : Un nouveau papier que nous venons de voir sur le web et que nous vous produisons ci-dessous. Le sujet est « Actualité française ».

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Avec son visage de chat et son port altier, Anouk Aimée était la réponse française à Audrey Hepburn (elle fut d’ailleurs l’épouse d’Albert Finney, partenaire d’un film et un temps compagnon de l’actrice de Diamants sur canapé). Autrement dit, une actrice d’une classe folle qui faisait rêver les grands cinéastes européens, autant que les Américains. « C’est la vie qui a choisi [le cinéma] pour moi », confiait celle qui nous a quittés ce 18 juin, à Laure Adler sur France Culture en 2014.

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Et de raconter comment elle qui était née Nicole Dreyfus changea de nom pour adopter le poétique « Aimée » sur le plateau d’un film inachevé du tandem Marcel Carné-Jacques Prévert (La Fleur de l’âge) : « Quand on a à peine 15 ans et que Jacques Prévert vous donne un nom, que ce soit n’importe quoi, vous le gardez, même si ça n’avait pas été Aimée ! » Retour sur les grands rôles qui ont fait sa renommée.

La Dolce Vita (1960)

Selon la légende, le scénario de La Dolce Vita consistait au départ en un dessin (signé de la main du maestro Federico Fellini) représentant un homme au très long sexe qui nage, entouré de sirènes… Anouk Aimée – vue dans Les Amants de Vérone ou encore Pot-Bouille – est alors inconnue des Italiens. Fellini est séduit par sa photo dans un magazine : il la croit mannequin, la découvre actrice. Et lui confie le personnage de Maddalena, une femme d’une élégance folle.

L’entente entre le cinéaste de génie et Anouk Aimée est immédiate. « Je suis entrée dans le film comme si j’avais toujours fait partie de son monde », se souviendra-t-elle. Maddalena évoque par son look (cheveux courts, lunettes noires), son goût de la nuit et son rapport gourmand aux hommes l’actrice américaine Ava Gardner qui hante alors ces night-clubs de la via Veneto dont Fellini restitue à la fois le glamour et le sordide.

Elle incarne le parfait contrepoint à l’autre pôle féminin du film, la voluptueuse Anita Ekberg. Une inoubliable scène de cache-cache lors d’une soirée mondaine en fait la dernière possibilité de bonheur de Marcello, celle que – comme les autres – il ne saisira pas.

Lola (1961)

Lola ne s’appelle pas Lola par hasard mais en hommage à la Lola Lola de L’Ange bleu, celle que jouait Marlene Dietrich dans le film de Josef von Sternberg (1930). En choisissant Anouk Aimée pour ce rôle de danseuse de cabaret qui porte magnifiquement la guêpière et le haut-de-forme (double hommage à Marlene), Jacques Demy lui fait donc le cadeau de l’inscrire dans une mythologie de cinéma.

Tourné à Nantes, la ville natale de l’auteur, et notamment dans le célèbre passage Pommeray, Lola contient en germe toute la filmographie de Jacques Demy – la rêverie autour des marins de passage, le personnage de Roland Cassard (qui revient dans Les Parapluies de Cherbourg), la musique de Michel Legrand, et bien sûr un goût du mélo assumé… Anouk Aimée – qui reprend le rôle dans Model Shop (1969) – dira souvent son attachement à ce rôle auquel elle s’identifie… parce que Lola, avant toute chose, est une grande amoureuse.

Huit et demi (1963)

Proche de Fellini, Anouk Aimée se retrouve fort logiquement au générique de son autoportrait, Huit et demi. Elle y joue Luisa, l’épouse de Guido Anselmi, ce cinéaste aussi irrésistible qu’insupportable qu’incarne Marcello Mastroianni et dont la crise d’inspiration reflète celle que traverse Fellini, pétrifié par les attentes suscitées par le succès international de La Dolce Vita.

Anouk Aimée joue donc en quelque sorte Giulietta Masina à un moment difficile de la relation du couple, elle le fait avec son éternelle élégance, réussissant à ce que le portrait sévère (les protestations de Luisa ne font rien pour aider Guido à retrouver sa créativité) ne sombre jamais dans la caricature misogyne. À jamais nostalgique de Fellini, Anouk Aimée continuera au fil des tournages à évoquer la façon de faire de « Federico » au risque d’exaspérer son metteur en scène du moment…

Un homme et une femme (1966)

« Quand tu as fini de me raconter le film, j’étais prête à commencer tout de suite. C’était formidable ! » lance Anouk Aimée à Claude Lelouch dans une émission de télévision de 1967 en évoquant le jour où il lui a proposé Un homme et une femme.

Anne Gauthier est veuve, Jean-Louis Duroc aussi. Le mari qu’elle a perdu était cascadeur, l’homme qu’elle rencontre et avec qui elle vit une nouvelle passion est pilote de course. L’amour, la mort, la plage et bien sûr la musique – ce Chabadabada qui ne la quittera plus… –, tous les éléments d’un mythe sont dans ce film au charme fou.

Nommée à l’oscar de la meilleure actrice face à rien de moins qu’Elizabeth Taylor (pour Qui a peur de Virginia Woolf ?), Anouk Aimée entre, grâce à cet énorme succès qui marque l’époque, au panthéon des stars internationales.

Le Saut dans le vide (1980)

Ce film oublié aujourd’hui vaut à l’époque un prix d’interprétation à Anouk Aimée au Festival de Cannes 1980. Sous l’œil acéré de Marco Bellocchio, l’actrice y joue Marta, la sœur dépressive de Mauro (Michel Piccoli), un juge glaçant et glacial. Marta est rongée par la mélancolie, prise de vertiges et son huis clos avec son frère est oppressant.

Le juge se met en tête de se débarrasser d’elle, qui n’a jamais connu de relation amoureuse, en la jetant dans les bras d’un acteur. Grand peintre de la monstruosité de la famille bourgeoise, Bellocchio tire le meilleur parti de l’allure aristocratique d’Anouk Aimée et de son jeu distancié. Le film, d’une grande perversité puisqu’il joue sur l’idée d’un fantasme incestueux entre le frère et la sœur, crée le malaise. Et le tandem Piccoli-Aimée avec doublage italien atteint des sommets.

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