Voilà qui va vous plaire : Un nouveau texte que je viens de identifier sur internet et que nous vous proposons ci-dessous. Le propos est « Actualité française ».
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Titre exacte donné par le journal était: Geert Wilders claque la porte, le gouvernement s’effondre
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La crise politique couvait depuis plusieurs mois aux Pays-Bas : cette fois, c’est fait. Geert Wilders, le leader du Parti pour la liberté (PVV, extrême droite), se retire de la coalition au pouvoir depuis onze mois. Le Premier ministre Dick Schoof devrait présenter sa démission au roi Willem-Alexander avant ce mardi 3 juin au soir.
De nouvelles élections auront lieu à l’automne, dans un pays où les questions migratoires dominent désormais le débat politique. Schoof dirigera donc le pays « en affaires courantes ». Contrairement à l’usage néerlandais, Geert Wilders a annoncé le retrait immédiat de tous ses ministres, rompant avec la tradition du gouvernement de transition. Cette décision complique encore la gestion des affaires courantes.
Le populiste Geert Wilders a provoqué cette crise, car il reproche à ses partenaires de ne pas soutenir son nouveau plan migratoire radical. Lundi, il avait posé un ultimatum aux trois autres partis, le libéral VVD, le NSC, centriste, et le BBB, agrarien. En vain. Il en tire les conséquences.
Son plan en dix points présentés fin mai prévoyait notamment la mobilisation de l’armée pour sécuriser les frontières, la fermeture des centres d’hébergement pour réfugiés et le renvoi systématique des Syriens. Une manière pour Wilders de remplir sa promesse électorale, à savoir l’instauration du « régime d’asile le plus dur jamais mis en place ».
Des alliés qui crient à l’irresponsabilité
Les réactions des partenaires abandonnés ne ménagent pas Geert Wilders. Caroline van der Plas, du BBB, dénonce un geste « irresponsable », tandis que Dilan Yesilgoz-Zegerius, la leader du VVD, accuse Geert Wilders de « laisser tomber sa majorité de droite par ego ».
Pour Nicolien van Vroonhoven (NSC, centre), cette décision demeure « incompréhensible », car le gouvernement Schoof devait précisément déployer un plan migratoire déjà drastique. Geert Wilders avait, du reste, obtenu ce poste au sein du gouvernement au profit de l’une ses disciples, Marjolein Faber, ministre de l’Asile et de la Migration.
L’opposition, elle, ne cache pas sa satisfaction. Henri Bontenbal (CDA, chrétien-démocrate) évoque « une année d’amateurisme politique », tandis que Rob Jetten (D66, social-libéral) pointe les « querelles internes permanentes » qui ont paralysé l’action gouvernementale.
Un pari électoral risqué
Allié européen de Marine Le Pen, Viktor Orban et Matteo Salvini, Geert Wilders justifie sa stratégie en brandissant des sondages montrant que ses propositions recueilleraient l’adhésion d’une « large majorité » des électeurs, y compris dans les autres partis de coalition. Il revendique notamment le soutien populaire pour des mesures comme le retrait de nationalité pour les binationaux condamnés pour crimes violents, ou l’élargissement des pouvoirs policiers lors de manifestations.
Les derniers sondages créditent le PVV d’un gain de trois sièges, le replaçant en tête du paysage politique néerlandais. Mais en un an, le PVV a perdu virtuellement 6 sièges (31 contre 37 à l’issue des législatives selon les projections brandies par Wilders). D’où, sans doute, le sentiment, pour le chef du PVV, qu’il était temps de quitter le navire gouvernemental plutôt que de connaître une plus forte érosion.
Dans le paysage sondagier actuel, c’est le CDA qui fait la bonne affaire : il était tombé dans une disgrâce historique lors des législatives en ne récoltant que 5 sièges. Il remonte à 18 sièges, ce qui le situerait à la quatrième place derrière le PVV (31 sièges), l’alliance Groenlink-PVDA des écologistes et les travaillistes (30 sièges), les libéraux du VVD (25 sièges).
Une majorité alternative contre le VVD ?
Les chiffres brandis par Geert Wilders montrent qu’il existe, virtuellement, une majorité alternative qui pourrait émerger des urnes à l’automne en rassemblant GroenLinks/Pvda, le VVD libéral (25 sièges), le CDA chrétien-démocrate et D66 centriste (8 sièges) disposerait de 81 sièges sur 150, soit une majorité confortable.
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Cette alliance, qui réunirait la gauche écologiste, les libéraux de droite et le centre démocrate, présente l’avantage de rassembler des formations pro-européennes et attachées à l’État de droit, capable d’isoler le PVV dans l’opposition. Cependant, ces partis devraient surmonter des divergences sur les programmes économiques – notamment sur la fiscalité et les questions environnementales.
Cette crise néerlandaise s’inscrit dans un contexte européen plus large, marqué par la montée des partis anti-immigration. Comme en Allemagne avec l’AfD ou encore la victoire, dimanche 1er juin, du candidat polonais du PiS à la présidentielle, Karol Nawrocki.
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